À l’heure sombre où notre espèce se révèle « hors-sol » et destructrice de la biodiversité, réapprenons à admirer les herbes folles des coins de trottoirs, friches et jardins sauvages.
Si nous nous sommes jusqu’ici octroyé le droit de les qualifier de « mauvaises herbes »,
il est grand temps de reconsidérer notre humble place dans le vivant
et d’entendre ce que ces belles plantes pionnières et inventives semblent murmurer à notre passage :
« Mauvaise herbe toi même ! ».
Prise de vues réalisée lors de la Biennale Populaire d’Arts Visuels, du 6 au 8 octobre 2017, à Viviers-Lès-Montagnes (81), FR.
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